Les gens du fleuve – France 3 -La marche du siècle

Réalisateurs
Sylvie CHABAS
Jean Pierre FROMENT

Cadre
Daniel Brosset

Montage
Emmanuelle Perez

 

Production
Taxi production / 1991

Durée : 40 mn

Résumé

Kayes, au Nord Ouest de Bamako au Mali. En remontant le fleuve Sénégal vers l’Est, tout un chapelet de villages qui s’étend sur 500 kms. Nous sommes en pays Soninkés dont est originaire la grande majorité des maliens vivant en France.
Comme un road-movie, le film traverse un à un ces villages, berceau d’une émigration vers l’autre continent qui a commencé dans les années 1960. L’irrigation, la santé, l’éducation, toutes les infrastructures existantes sont dues à l’apport des migrants.
En France, ils vivent en foyer ou en familles, à Paris ou dans la proche banlieue. Chaque premier dimanche du mois a lieu un rituel immuable : la communauté Soninké se regroupe et chacun cotise pour des projets de développement dans son village. Pour un immigré, ne pas cotiser revient à s’exclure de la communauté.
Cette économie, initiée au sein des foyers parisiens de travailleurs immigrés est une économie très structurée, méconnue et colossale : elle représente 11 % du PIB du pays . ( source AFD 1990 )

Ce film a obtenu le prix de l’Avenir au Festival du Grand Reportage de Lagny ( mai 1992 )

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Les gens du Fleuve France 3 La marche du siècle – 1991

les-gens-du-fleuve-Sylvie-Chabas-realisatrice-Paris

Durée 40 minutes
Réalisation Sylvie Chabas

Prix de l’Avenir Festival du Grand Reportage Lagny 1992
Cadre
Daniel Brosset
Production
Taxi Production
Montage
Emmanuelle Perez

Résumé
Kayes, au Nord Ouest de Bamako au Mali. En remontant le fleuve Sénégal vers l’Est, tout un chapelet de villages qui s’étend sur 500 kms. Nous sommes en pays Soninkés dont est originaire la grande majorité des maliens vivant en France. Comme un road-movie, le film traverse un à un ces villages, berceau d’une émigration vers l’autre continent qui a commencé dans les années 1960. L’irrigation, la santé, l’éducation, toutes les infrastructures existantes sont dues à l’apport des migrants. En France, ils vivent en foyer ou en familles, à Paris ou dans la proche banlieue. Chaque premier dimanche du mois a lieu un rituel immuable : la communauté Soninké se regroupe et chacun cotise pour des projets de développement dans son village. Pour un immigré, ne pas cotiser revient à s’exclure de la communauté. Cette économie, initiée au sein des foyers parisiens de travailleurs immigrés est une économie très structurée, méconnue et colossale : elle représente 11 % du PIB du pays . ( source AFD 1990 ) Ce film a obtenu le prix de l’Avenir au Festival du Grand Reportage de Lagny ( mai 1992 )

 

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