Sylvie CHABAS – Journaliste Réalisatrice
Benjamin Blasco, fondateur de l’application Petit Bambou, et moi même avons eu le projet de réaliser ( mars 2016 ) ces films de témoignages sur la méditation. Ils ne sont ni experts, ni instructeurs de méditation, encore moins moines bouddhistes. Ils ont découvert la méditation, l’ont peu à peu intégré à leur quotidien et témoignent sur ce que cette pratique a fait évoluer dans leur vie …
MéDITER AU QUOTIDIEN ET S’ANCRER DANS LE PRéSENT ….épisode 2
Benjamin Blasco , fondateur du site et de l’application Petit Bambou et moi même avons réalisé un film de témoignages sur la méditation (mars 2016)
Alors que la méditation est aujourd’hui commentée par beaucoup d’experts, scientifiques et autres spécialistes, nous avons voulu donner la parole à des individus qui l’ont découvert pas à pas …. Quels étaient leurs a priori ? Comment ont -ils peu à peu intégré cette pratique dans leur quotidien ?
MONTER à BORD ET MéDITER …… épisode 1
Visionner le film sur le site de l’agence CAPA
Diffusion : Janvier 2004
Durée : 13 minutes
RÉSUMÉ
Nos émotions ne sont pas des éléments perturbateurs dans notre capacité à raisonner. Au contraire, nos émotions nous aident à prendre les bonnes décisions. Exprimer et ressentir est indispensable à la mise en oeuvre de nos comportements rationnels. Le neurologue américain Antonio Damasio développe cette thèse dans son ouvrage « l’erreur de Descartes »Dans ce film , diffusé dans l’émission le Magazine de la Santé, France 5 , nous avons fait le portrait de Thibault, victime d’un traumatisme crânien et de lésions cérébrales qui lui ont ôté toute capacité à s’émouvoir. Il est suivi par le neurologue serge Bakchine au CHU de Reims. Ce dernier nous décode les conséquences pour son patient de ses pertes d’émotions.
Article paru dans le Nouvel Obs
Durée 40 minutes
Réalisation Sylvie Chabas
Prix de l’Avenir Festival du Grand Reportage Lagny 1992
Cadre
Daniel Brosset
Production
Taxi Production
Montage
Emmanuelle Perez
Résumé
Kayes, au Nord Ouest de Bamako au Mali. En remontant le fleuve Sénégal vers l’Est, tout un chapelet de villages qui s’étend sur 500 kms. Nous sommes en pays Soninkés dont est originaire la grande majorité des maliens vivant en France. Comme un road-movie, le film traverse un à un ces villages, berceau d’une émigration vers l’autre continent qui a commencé dans les années 1960. L’irrigation, la santé, l’éducation, toutes les infrastructures existantes sont dues à l’apport des migrants. En France, ils vivent en foyer ou en familles, à Paris ou dans la proche banlieue. Chaque premier dimanche du mois a lieu un rituel immuable : la communauté Soninké se regroupe et chacun cotise pour des projets de développement dans son village. Pour un immigré, ne pas cotiser revient à s’exclure de la communauté. Cette économie, initiée au sein des foyers parisiens de travailleurs immigrés est une économie très structurée, méconnue et colossale : elle représente 11 % du PIB du pays . ( source AFD 1990 ) Ce film a obtenu le prix de l’Avenir au Festival du Grand Reportage de Lagny ( mai 1992 )
Résumé
Longtemps remisées à cause du choix français de l’énergie nucléaire, les éoliennes reprennent leur souffle depuis qu’une directive européenne demande aux États de consacrer 25% de leur production énergétique aux renouvelables. Quelques obstacles restent à surmonter.
